Livre non acquis

TITRE : Traité des maladies des articulations, accompagné d'un Atlas de 16 planches.
Attention, en trois tomes.

AUTEUR : Bonnet Amédée (1809-1858).

ÉDITEUR : Paris, J.-B. Baillière et Germer Baillière.

Date d'édition :

Ré-édition : 1845, 1845, 1ère édition.

Lieu d'impression : Paris, France.

LANGUE : français.

FORMAT : 1 volume. 5 x 22cm, 582 pages (plusieurs tomes.)

Type : Livre en deux volumes + l'Atlas de 16 planches.
Voir : cette page.

ISBN : aucun

Droits : Libres

Crédit photographique : Le CFDRM.

Identifiant : http://www.cfdrm.fr

Numéro d'archives :

RELIURE : _

ILLUSTRATIONS : oui, accompagné d'un Atlas de 16 planches.

ETAT :

BIOGRAPHIE & THÈME : Médecine, orthopédie

POIDS :

Résumé :

Description : "Des Bains de Vapeur Humide". "Bains Russes". "Douches Froides". "Des Eaux Salines". "Mouvements Artificiels et Massage". "Traitement par l'Opium". etc. Orthopédie.
Cité par Estradère dans sa thèse, Du massage de 1863 pages 87, 90, 95, 141, 146, 147 et 163.

Commentaires : Amédée Bonnet (1809-1858) est un médecin français, chirurgien de l'Hôtel-Dieu de Lyon, membre de l’Académie de Médecine. Précurseur dans la chirurgie orthopédique et osseuse, co-fondateur de l'école chirurgicale de Lyon, Amédée Bonnet a laissé des descriptions parfaites des abcès froids d'origine osseuse et des affections tuberculeuses du rachis et des grandes articulations. Ses travaux, en particulier ceux concernant les immobilisations articulaires ont jeté la base de la chirurgie orthopédique. Louis Léopold Ollier (1830-1900), qui est considéré comme le créateur de la chirurgie orthopédique moderne fut l’un de ses élèves...

Bibliographie :

Fiche de repérage (mots clef) : à compléter

massage,

^TDM : Livre traitant du massage. Oui

Restitution de texte (partielle) : tiré de la thèse d'Estradère, Du massage de 1863 pages 141 et 142.

« Si l'on recherche quelle est l'opinion des auteurs relativement à la lésion anatomique qui est la cause des symptômes du tour de reins et de la variété de torticolis (musculaire) que je viens d'indiquer, on trouve que les uns, Mothe et Sédillot, les ont fait dépendre d'une rupture des fibres musculaires ; que d'autres, Lieutaud, Pouteau et Portal, les ont attribués à une luxation des muscles ; que d'autres enfin, comme Martin aîné (de Lyon), admettent dans ces cas l'existence d'un état de contracture douloureuse des muscles.

» L'examen de la valeur de chacun de ces opinions se lie à l'étude des moyens thérapeutiques à employer, car, malgré la diversité dans la manière d'envisager la nature du mal, la plupart des chirurgiens 

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qui se sont occupés de cette affection s'accordent à conseiller la même méthode de traitement, le massage... »

Source en ligne sur : Google-livre

Provenance : non acquis

Incorporation :

Accès à l'emprunt : (non acquis)

Statut de l'ouvrage :

Reconnaissance associative :