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 Livres non ouverts à l'emprunt

TITRE : Est à votre disposition Voyage à l'intérieur de la Chine et en Tartarie
Fait dans les années 1792, 1793 et 1794.

Par Lord Macartney,

Ambassadeur du Roi d'Angleterre auprès de l'Empereur de la Chine.
Avec la relation de cette Ambassade, celle du voyage entrepris à cette occasion par les vaisseaux le Lion et l'Indostan, et des détails très-curieux sur les Colonies Espagnoles, Portugaises et Hollandaises, ou ces Vaisseaux ont relâché :

Rédigés sur les papiers de Lord Macartney, sur ceux de Sir Erasme Gower, Commandant de l'expédition, et des autres personnes attachées à l'ambassade ;

Par Sir Georges Staunton, de la Société Royale de Londre, Secrétaire de l'Ambassade d'Angleterre, et Ministre plénipotentiaire auprès de l'Empereur de la Chine.

Traduit de l'Anglais, avec des notes,

Par J. Castéra.

AUTEUR : George Léonard Staunton

EDITEUR : F. Buisson, imprimeur-libraire, an 6 de la république (1798).

Date d'édition : 1792, 1793 et 1794

Lieu d'impression : Paris, France

LANGUE : français, 1ère édition Française

FORMAT : complet en quatre volumes, in-8 (13 x 20,5 cm), 515 pages pour le 1er tome ; 412 pour le second ; 399 pour le troisième et 326 pour le quatrième.

ISBN :

Droits : libres

Identifiant : http://www.cfdrm.fr

RELIURE : demi-veau de l'époque à petits coins de vélin, petit accident à une coiffe, mors bon état, reliures et charnières solides, coins bon état, quelques frottements sur les plats, dos lisses ornés, titres dorés.

ILLUSTRATIONS : oui, Contient 4 frontispices représentant : Lord Macartney, le Mandarin Turon, l'Empereur de la Chine et le néptune Chinois, ainsi que de 3 grandes cartes repliées (47 x 66 cm).

ETAT : quelques rousseurs (rousseurs plus importantes sur certains feuillets du tome IV), tranches mouchetées, cachet du château d'Esternay.

BIOGRAPHIE & THEME : Histoire

POIDS :

Description : Contenu :  George Léonard Staunton relate dans ce récit le voyage de la première ambassade britannique envoyée en Chine et en Tartarie par le roi Georges III, à la fin du XVllle siècle.
La mission est conduite par Lord Macartney, l'auteur est son Second. L'expédition comprend quatre navires chargés de somptueux présents, et plus de 700 personnes à bord, dont le propre fils de Staunton, alors âgé de 10 ans. Le jeune garçon apprend à parler le chinois si rapidement qu'il peut par la suite fonctionner comme interprète, à la stupéfaction de la cour impériale. Les longues navigations océaniques, ainsi que les escales dans des îles jusqu'alors peu connues (Canaries, Madère, Cap-Vert, Amsterdam, Sumatra.), sont rapportées avec de nombreux détails par les savants qui accompagnaient l'ambassade. Ce récit évoque également de façon pittoresque la vie des Chinois de l'époque, de toutes classes sociales et dans tous les domaines d'activité, les villes et les campagnes, le costume autant que le caractère des populations rencontrées. Cette ambassade restera dans les annales, car elle marque le point de départ d'une série de malentendus entre le royaume d'Angleterre et l'empire chinois qui conduiront, un demi-siècle plus tard, à la première Guerre de l'Opium.

Commentaires : à la fin du tome IV est bien marqué "fin du quatrième et dernier volume" et que celui-ci possède une table générale et raisonnée des matières contenues dans les quatre volumes. En l'an VII (1799) a été publié un cinquième volume en seconde édition, celui-ci sert de supplément avec plusieurs nouvelles planches.)

Fiche de repérage (mots clef) : à compléter

TDM : à vérifier, sachant que le Révérent Père Amiot y est cité deux fois.

Provenance :

Incorporation : mercredi 16 décembre 2009

Accès à l'emprunt : non

Statut de l'ouvrage : don

Reconnaissance associative : faisait partie de la collection privée d'Alain Cabello

J'avais lu il y a de cela quelques années le livre d'Alain Pierrefitte, L'Empire Immobile, qui tournait autour de cette Ambassade et cet ouvrage m'avait beaucoup intéressé. En fait, Alain Pierrefitte montrait la le faussé qu'il y avait déjà entre la Cour Chinoise, la complexité de son protocole, de son raffinement en comparaison avec celles d'Europe, o combien plus grossières. En massage, cela se retrouve à l'identique lorsqu'on regarde la puissance des massages asiatiques et l'effroyable absence de ceux d'occident. De plus, Dans cette édition original le Révérent Père Amiot y est cité deux fois.

 

Voici ce que nous pouvons vous en monter